Départ

16H, nous voilà partis avec un peu de retard (comme d'habitude) afin de terminer les derniers préparatifs... et faire les derniers au revoir.  
Ci joint l'article paru ce matin sur le journal "la tribune/le progrès" à la page Panissières : 

Après une maîtrise en économie et gestion d’entreprise, un DESS en stratégie économique du sport et du tourisme, Grégory, 32 ans, avait de grandes envies de voyages. Des rêves pleins la tête il a rejoint son frère Florian en Australie à la découverte de ce pays.

Florian, 27 ans, un brin anticonformiste, a vite arrêté ses études et enchaîné un tas de boulots différents avant de partir en Australie. Il fera ce voyage avec Pauline sa copine pendant 5 mois, et le continuera avec Grégory pendant 6 mois.

Tous les deux souhaitent se confronter à de nouvelles visions, et renouer avec les vrais besoins de la vie. C’est la raison pour laquelle ils reprennent la route avec le sac à dos et le pouce, en direction de l’Amérique latine. Ils seront désormais, comme ils le disent : « des Pilon voyageurs ».

Pourquoi ce voyage ?

Depuis notre adolescence nous sommes fascinés par les récits d’aventures. Nous avons envie de rencontrer, confronter des opinions, observer sans juger pour éloigner les peurs, l’intolérance et le racisme.

Dans quelles conditions ?

Notre objectif est de ne rien dépenser pour le transport en faisant du stop. Pour l’hébergement ce sera chez l’habitant ou à la belle étoile !

Pourquoi ces conditions ?

Parce que nous aimons le stop qui permet des rencontres improbables. Nous aimons cette forme de liberté et le fait que tout ne soit pas écrit et planifié. Nous éprouvons aussi une certaine satisfaction à vivre du minimum.

Justement de quoi allez-vous vivre ?

Notre budget est de 6 000 € pour 1 an et 1/2 de voyage.

Quand partez-vous ?

Mardi 15 octobre de Panissières, en stop, via l’Espagne et Gibraltar, puis en voilier-stop pour traverser l’Atlantique et rejoindre le Brésil.

Aurons-nous de vos nouvelles ?

Oui, environ tous les 2/3 mois par votre intermédiaire pour les lecteurs du Progrès.

Marthe dans son beau nid !